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M’effacer pour les autres peu à peu tous
Les mois jusqu’à ne plus savoir qui je suis,
Le vrai moi ?
Non, merci.

Diluer mon discours pour entrer dans un
Moule qui n’est d’autre que celui d’un esprit
Mou ?

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Il y a des gens, je sais que je ne vais jamais les oublier. J'ai pas envie de les oublier.
Et puis il y a ceux que tu ne peux pas oublier. Ceux qui t'ont marqué, physiquement, mentalement. J'aimerais me

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Je veux me donner corps et âme à toi
Je t'enlèverai tout ce poids
Tu as déjà mon âme
Même si tu es des plus infâmes
  Brûle-moi de ton toucher
Comme sur un bûcher
Car tu as brûlé tout

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Il fait beau, le sable est chaud,
la mer est calme mais Monsieur s’ennuie.
Il voit la mer depuis sa villa mais est trop fatigué pour y aller.
Comme tous les matins, Monsieur invite ses copains.
Ayant tous les moyens,

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M’effacer pour les autres peu à peu tous
Les mois jusqu’à ne plus savoir qui je suis,
Le vrai moi ?
Non, merci.

Diluer mon discours pour entrer dans un
Moule qui n’est d’autre que celui d’un esprit
Mou ?

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Déshumanisé

J’aurais aimé pouvoir tout dire
Mais je n’ai pas été programmé pour
Alors je garde tout et ça me ronge
Et à force d’être contenu j’explose
“Mon humanité se noie dans la désintégration des dernières particules de moi, mon

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Be strong.
Some will say that you're no longer like the others.
You are. It's true.
We all are different from each others.
You are unique, but not on your own.
I'm there and I'm not alone.
We, you, me

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La distance n’est pas un mal en soi,
Même à 100 kilomètres de chez toi
Le train notre meilleur allié,
Quand 1 mois vient de s’écouler.

“Loin des yeux, près du cœur”
Je me le répète pendant des heures,
Quand

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Aujourd’hui encore, je mets ce masque flasque
Car derrière les apparences, je me sens seul,
Plein de souffrances et de questions vastes
Dans ce tête-à-tête avec moi et ma gueule

Et ce monde sans vie qu’on nous laisse
Après guerres,

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Achille, entends-tu la mer te parler ?
Descends, ne la force pas à pleurer.
Essaie d’oublier ce qu’il a été,
Ne laisse pas la douleur t’habiter.

Achille, un jour toi aussi tu mourras
Mais songe à Thétis qui ne le