Les vagues éclatent le paysage sonore de la Bretagne fatiguée. Elles se fracassent contre les galets de l'anse, elles défilent en lignes brèves et parallèles ; frontières d'ombres où le soleil s'arrête.
Je lève le front pour observer la lente
Ont-il une origine que ne l’on connaît pas ?
Sont-ils des malheureux, dont passés à trépas ?
Flottant haut dans les cieux d’une grâce égale à un ange,
Ils regardent notre monde, corrompu et étrange.
Peut-être que la pluie révèle
Il observait le soleil levant
Avec tant d’amertume
A chaque nouveau pas,
Il pensait à lui.
Une goutte d’eau pour remplir
Le vase, déjà brisé
Et pourtant combien de larmes
Avaient été versées.
L’ouragan terminé,
A chaque nouveau pas,
Il
Le Doudou vagabond
Très en retard en ce matin froid de décembre, je claquai la porte en me dépêchant de rejoindre la rue Voltaire, qui me permet d’accéder à mon arrêt de bus. D’un pas rapide, je dépassai personnes âgées
La vie est remplie de beauté
Mais se cachent des cruautés,
Cessez de lutter contre la peur
Partez avec un sac à dos
Parcourir contre le froid, le chaud.
Nombreux nous sommes ; communiquez
Tous pays a sa culture
Découvrez
Se préparer.
Partir au lycée.
Saluer tout le monde.
Aller en cours.
Avoir une interrogation surprise.
S'ennuyer.
Aller manger.
Retourner en cours.
S'ennuyer à nouveau.
Rentrer à la maison.
Faire ses devoirs.
Manger.
Dormir.
Se lever.
Recommencer la journée.
Voilà
Une tour de béton s'élève au centre de la ville
A l'image de mon cœur, fermée, hermétique
Comme d'autres, coulée dans un moule dès la naissance
Puis déformée par la pluie et le silence
Les milliers de gens qui passent
Jolies filles et soupirs
Habits volants sourires
Je suis chez moi
Prince, fou et roi
Matelas maison
La déraison
Émeraude peau or
Belles poses beaux corps
Elle s'ose aux torts
Lèvres roses dévorent
Des roses éclore
Belles choses décor
Mon téléphone Mon téléphone portable, je l’ai toujours sur moi peu importe l’endroit. Il est grand et fin, il tombe souvent par terre. Je l’utilise tout le temps, peu importe l’endroit. Dès que je m’ennuie il me divertit grâce à
Je suis perdue !
En rentrant chez moi je croise une poupée
Qui est allongée sur le dos,
Elle est blonde et porte des talons noirs
Et une robe bordeaux
A-t-elle une belle maison
Que sa propriétaire lui a achetée